Vous savez déjà, je pense, que Paris est depuis longtemps ultra prisée parmi les plus fortunés. C’est également le cas de Londres ou de New York, qui connait actuellement un regain de popularité. A Manhattan, de nombreuses tours destinées à héberger des appartements de très haut de gamme sont en construction, sans pour autant être confinées aux alentours de la Cinquième avenue. La preuve avec cet immeuble de 84 étages, le building le plus haut habité dans la partie ouest de la ville, ou l’appartement penthouse s’est vendu à environ à 95 millions $. Les prix s’envolent avec l’altitude. Mais les appartements des étages inférieurs ne sont pas pour autant à portée de tout le monde.
Les classes moyennes ont de plus en plus de mal à se loger à des prix décents. Seuls les plus riches, peuvent profiter du marché actuel pour se trouver un logement. Et la plupart d’entre eux sont des étrangers, en provenance pour la plupart de pays émergents, de Russie, d’Amérique Latine, d’Asie, ou du Moyen Orient. Ce qui signifie, en d’autres termes, qu’il est bien souvent difficile d’identifier ces clients, qui agissent souvent sous couvert de sociétés anonymes. Et qu’il ne s’agira pas non plus de logements permanents, puisque selon Henry B. Macklowe, de l’agence CIM Group, seul un quart des logements seront occupés à un temps donné.
La tendance est donc la même dans chacune des plus grandes villes de la planète. Le marché immobilier rappelle, encore une fois, que l’écart entre les plus riches et les plus pauvres ne cessent de se creuser. Et que la ville musée, des appartements haussmaniens aux buildings new yorkais, est incontestablement devenue une réalité.
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