Bombardier n’est pas encore sorti du trou d’air causé par la crise. Le fabricant québécois d’avions et de trains a vu ses profits baissé de 15% au troisième trimestre, à 143 millions de dollars.
Poursuivre l’innovation malgré la crise, une impérieuse nécessité. « Nous avons continué à développer nos programmes d’avion et annoncé, en septembre, le lancement des biréacteurs Global 7000 et Global 8000, » a rappelé Pierre Beaudoin, PDG de Bombardier.
, avec le Global 7000 et 8000, a mis sur le marché le jet privé le plus cher au monde (65 millions d’euros). Leur mise en service n’est prévue respectivement qu’en 2016 et 2017. Juste à temps pour la véritable reprise de l’économie mondiale ?