La Lady Z d’Harry Winston est la première montre pour dames en zalium, matériau extrêmement difficile à travailler. Les maîtres joailliers Harry Winston ont, en plus, réussi l’exploit de sertir la lunette et les cornes de diamants. Les montres pour femmes n’ont pas souvent droit à des complications, et à ma connaissance, aucune d’entre elles sont dotées de tourbillon. La seule complication largement répendue chez les femmes est sans aucun doute la phase de Lune, sans doute du fait de son romantisme.
Dans la partie inférieure du cadran de la Lady Z, une ouverture elliptique reproduit la voûte céleste et met en scène le ballet lunaire: deux lunes en aventurine, mélange subtil de bleu profond étoilé et pailleté, l’une blanche, l’autre noire. Chacune est terminée par une trace semblable à la queue d’une comète, elle aussi sertie en un savant dégradé de diamants et de saphirs noirs. Le réglage de cette fonction poétique se fait au moyen d’un poussoir à fleur de carrure situé à 2h.
Le cadran bicolore évoque à la fois l’énergie rayonnante et la face cachée de de la lune. Argenté, remarquable par ses chiffres arabes disposés en rayons, il apporte un contraste saisissant avec le noir de l’ellipse. Un second cadran reproduit la beauté du ciel nocturne: la zone horaire s’illumine sur fond sombre d’un pavage de diamants. Cette édition spéciale, sera disponible exclusivement dans les Salons Harry Winston.
(Source: Harry Winston)
Regarder l’heure au milieu des étoiles et des comètes quel luxe, j’adhère!