C’est au nez Daphné Bugey que l’on doit ce décliné de l’Eau d‘Issey. L’inspiration part de la rencontre entre l’eau et le ciel… quelque chose de l’infini, du poétique, du rêve aussi. Fil de l’horizon, nuage doux.
L’odeur tente et réussit à rester proche de l’Eau initiale avec en plus le thé blanc qui apporte sa fraîcheur mais aussi une sorte de pétillance. La rose et le lotus se marient toujours aussi merveilleusement dans ce désir de représenter L’orient et l’occident : le monde.
On ajoute un peu de bois blanc, un peu de muscs, on on respire ce parfum avec en tête la douceur de son nom : flagrance douce, aérienne, enveloppante pourtant et surtout terriblement tendre. Envie de dormir avec. Légèreté.
A noter la beauté du flacon dans sa couleur argent brillant, gris et rose
L’art du parfum reste entier.