Une brève lecture des sites, forums et magazines horlogers suffit à nous convaincre du dynamisme de Jean-Claude Biver. Le CEO de Hublot est partout, sur tous les supports et tout est prétexte à relayer ses interventions. Force est d’ailleurs de constater que cette omniprésence médiatique à un effet positif direct sur la marque qu’il dirige car depuis son arrivée à la tête de l’horloger de Nyon, la maison Hublot fait parler d’elle comme jamais. A tel point que l’influence de l’homme est aujourd’hui saluée.
En effet, le CEO d’Hublot recevait le 2 mars dernier une nouvelle distinction à Nyon de la part de journalistes de la presse horlogère en étant élu élu « Homme de l’Année » par Eugenio Zigliotto (Orologi da Polso, Italie), Gabriel Tortella (Tribune des Arts, Suisse), Stephan Ciejka (La Revue des Montres, France), Pierre Jacques (GMT, Suisse) et Grégory Pons (Business Montres, planète horlogère). Une récompense venant sanctionner l’authenticité, la disponibilité, l’ingéniosité, l’énergie, l’amitié et la créativité d’un homme insatiable, qui aura fait de 2008 une année exceptionnelle pour Hublot, tant par la croissance extraordinaire que par le rachat d’Hublot par le groupe LVMH.
« Il est toujours intelligent, il ouvre un nouvel horizon, il dévoile une perspective à laquelle on n’avait pas pensé … Il est accessible et c’est chaque fois un plaisir de passer des moments avec lui », affirmait Grégory Pons de Business Montres.
Homme de l’année… Voilà un beau titre, trop vague peut-être. A voir le formidable buzz que Jean-Claude Biver a développé autour de Hublot, ce n’est pas le titre d’homme de l’année que le business man aurait du recevoir mais bel et bien le prix nobel d’économie (ou du moins de marketing !)