Seiko roule des mécaniques depuis 115 ans

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(Image: Credor Spring Drive Sonnerie via Worldtempus)

Avec des technologies révolutionnaires comme les Kinetic et Spring Drive, Seiko ce n’est pas que de la montre à quartz japonaise depuis 1964, mais également une solide tradition dans la montre mécanique qui remonte au XIXe siècle.
Durant les Jeux Olympiques de Tokyo de 1964, le chronométreur officiel de l’évènement Seiko se faisait remarquer avec son premier compteur de temps à quartz portatif.

Puis, alors que l’Omega Speedmaster effectuait un grand pas sur la Lune, Seiko lançait en 1969 au pays du soleil levant l’Astron, soit la première montre à quartz, un évènement vécu comme un tsunami dans l’horlogerie qui s’est rapidement plongée dans une grande crise l’année suivante, en 1970. La même année, année érotique, Seiko s’essayait de manière remarquée à la montre automatique, avec un fameux Calibre 6139.

Les origines de Seiko remontent encore plus loin, avec, fondée en 1881, la société k. Hattori (rebaptisée plus tard Seikosha) qui présentera en 1895 sa première montre de poche.

Avec la Kinetic, Seiko offrait une solution originale à la guéguerre entre amateurs de quartz et puristes, une montre à quartz équipée d’un rotor, suspendu par lévitation magnétique, qui peut atteindre 100’000 tours/minute. La dernière née de la gamme s’appelle Direct Drive Phase de lune, avec indicateur visualisant la production et la réserve d’énergie en temps réel.

En 2005 naissait la Spring Drive, une montre automatique révolutionnaire subissant un écart de marche de +/- 1 seconde/jour que lui envient même les meilleurs chronomètres, grâce à un régulateur qui tourne sur lui-même dans une seule direction.

Seiko s’est même essayé aux complications autres que le chronographe avec la Credor Spring Drive Sonnerie (en photo ci-dessus), équipée d’une « répétition à heures ».

En février 2010, Seiko commercialisera en série limitée la Spring Drive Spacewalk, créée à l’origine pour le touriste de l’espace Richard Garriott, et dotée de performances que l’on attend très spatiales.

Toute l’histoire est sur Worldtempus.

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