Chopard partenaire du festival de Cannes depuis 10 ans

Menounos_cgs_zinta_herzigova_afef_v Dix ans après avoir été sollicitée par le Président du Festival de Cannes pour redessiner la Palme, Caroline Gruosi-Scheufele a fait de Chopard la figure incontournable du plus grand rendez-vous du cinéma et du glamour mondial.

Le 24 mai 1998, plusieurs millions de téléspectateurs ont les yeux rivés sur un petit écrin de maroquin bleu. A l’intérieur, lovée dans la tendresse d’un coussin de daim, la Palme d’or du Festival International du Film de Cannes étincelle comme la promesse d’un avenir radieux. Comme toujours, elle vient distinguer le meilleur film de la compétition. Mais, ce jour-là, le trophée révèle des lignes à la beauté inédite : Chopard marque de sa griffe la magie du sacre.

Il y a 10 ans, alors que le Festival de Cannes s’apprête à fêter son 51ème anniversaire, la maison de joaillerie et d’horlogerie genevoise Chopard se prépare à ouvrir une boutique sur la Croisette. Symboles d’un glamour absolu, ces deux institutions se croisent alors pour ne plus se quitter. Caroline Gruosi-Scheufele, co-présidente de Chopard, est sollicitée par Pierre Viot, le président du Festival, pour redessiner la Palme d’or. Attribuée au réalisateur du meilleur film de la manifestation depuis 1954, elle fait référence aux armoiries de la ville de Cannes. Le trophée est entièrement repensé Caroline Gruosi-Scheufele. Dans les petites mains des ateliers Chopard, un nouvel idéal stylistique et technique de la Palme d’or voit le jour.

Dansant et aérien, ce bijou végétal compte 19 folioles finement nervurées ; une feuille de palmier délicatement posée sur un coussin de cristal – taillé comme un diamant de forme émeraude. Ultime raffinement sur l’extrémité de sa tige : un cœur biseauté, comme un clin d’œil au symbole de la maison Chopard.

Depuis, de nombreuses innovations ont vu le jour, réaffirmant toujours le soutien que la maison genevoise apporte au septième art. Outre la Palme et la Caméra d’or (qui récompense le premier long métrage présenté dans l’une des sélections cannoises), Chopard réalise en l’an 2000 deux « mini-palmes », destinées aux prix d’interprétation masculin et féminin.

La maison genevoise ne s’est pas contentée de redessiner les trophées existants. Désireuse d’encourager les jeunes talents, elle a créé un nouveau prix pour soutenir la création cinématographique. Depuis 2001, le Trophée Chopard vient récompenser le talent de deux jeunes acteurs consacrés Révélation féminine et masculine de l’année : partenaire de premier plan du Festival de Cannes, la maison Chopard contribue ainsi activement au rayonnement artistique de la manifestation. 

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