« Le triomphe du Champagne » est l’article du Parisien qui a fait déborder la coupe.
Le quotidien avait consacré en décembre 2005 une série de reportages au Champagne et à son succès. Saisi par l’Association nationale de prévention en alcoologie et addictologie (ANPAA), le Tribunal de grande instance de Paris a condamné le Parisien a verser 5000 € de dommages et intérêts à l’association.
Dans son jugement, le Tribunal a indiqué que les articles du Parisien « constituaient des publicités sans pour autant que soit exigé un achat effectif d’espaces publicitaires ». Pis : le tribunal accuse le journal de « promouvoir la vente d’une boisson alcoolique en exerçant sur le lecteur une action psychologique de nature à l’inciter à la consommation ».
Encore une fois, le France s’illustre par une réglementation décalée et contre-productive. Comment parler de Champagne, un produit de rêve et de fête, sans évoquer les noms prestigieux qui sont liés à son histoire ? Comment assortir tous les reportages sur le Champagne par de messages sanitaires rédibitoires ?
Soyons honnêtes : le Champagne n’est pas la boisson de l’alcoolisme. C’est un produit de fête que l’on déguste avec plaisir.
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