Ses premiers souvenirs : une Podium 2000, mais surtout la Vacheron Constantin extra-plate de son père qu’il portait dès l’age de 10 ans.
« J’ai de très belles montres mais elles ne sont jamais tape à l’oeil , jamais à quartz ; pour moi les montres à quartz sont vides, elles doivent être facile à vivre et leurs complications doivent être utiles au quotidien, ou poètiques… »
Pêle-mêle dans sa collection personnelle : une Calatrava Patek Philippe, une Luminor Marina Panerai en acier, une Jacquet Droz ( avec petite seconde en or blanc) une Big Bang All Black en céramique.
Son dernier coup de coeur, la Otturatore en or rose signée de Grisogono : « l’idée de réaliser un cadran comme un plateau tournant dévoilant une à une les complications, c’est absolument génial, et loin de toute ostentation ».
On aura compris : les « bling-blingueries », c’est pas pour lui ! En tout cas, fin connaisseur ce Richard…
(Source : Montres Magazine, Eté 2008)