Un groupe de jeunes artistes appelé Da! Collective s’est installé le 10 octobre dernier dans un des plus prestigieux quartiers de Londres à Mayfair. Mais, ils ne sont ni propriétaire, ni locataire. En fait, ils ont pénétré à l’intérieur du 18 Upper Grosvenor Street, repéré 6 mois plus tôt, déguisés en entrepreneurs et en ouvriers du bâtiment.
C’est un immeuble de 6 étages et de 30 pièces, estimé à plus de 7 millions d’euros.Son propriétaire, la société Deltaland Resources Ltd, n’a pas encore réagi.
« Squatter n’est pas un crime, c’est une affaire civile » insiste Stephanie Smith, l’une des membres du collectif. Pour se justifier sans doute, ils ont effectué des rénovations et investi quelques pièces d’installations artistiques.
Il faut comprendre aussi, l’âme artistique a besoin du beau.. et donc du riche. Et on sait bien qu’avant la gloire, c’est la misère.. Clairement, les générations actuelles d’artistes ne sont pas prêtes à vivre cela.
Mouiiiii, l’art contemporain est décidément étrange…faire passer un message sans dire lequel ( et encore s’il y en a vraiment un….) en squattant des lieux qui ne leur appartiennent pas, aprés la piéce vide éclairée, l’orange posée sur une chaise et la machine à caca, c’est vrai qu’on sent l’évolution du message de l’art contemporain…les membres du collectif devraient apprécier également deux autres oeuvres d’art du même niveau qui seraient » faites donner la légion étrangére in your face » et » ma rangers dans ta gueule avec le canon de mon gros desert eagle pour rire dans ton nez » . quoi pas le droit ? quoi pas gentil ? quoi facho ? de suite…les clodos c’est les gentils et les gens qui souhaitent garder leurs biens les méchants capitalistes??? waaaaaa ce ne serait au contraire qu’équilibre artistique et équité. Perso, le coté » j’irais chier dans ton assiette » de leur démarche est quand meme dérangeant ( pouquoi ne pas pousser le truc jusqu’ à squatter chez des particulier ? )…bref, même si les lieux occupés sont luxe, la démarche est assez …..pitoyable ethonteuse .