(Photo: flickr CC) Tout comme le prince Alwaleed est venu en son temps au secours de l’hôtellerie de luxe ou Abu Dhabi au secours du rival d’Intel, AMD, le salut de la prestigieuse maison Christian Lacroix pourrait venir du désert, ou plus précisément d’un émir, selon Le Figaro.
En 22 ans Christian Lacroix n’a jamais pu dégager de bénéfice mais son aura n’a pas pris une ride et nombreux sont ceux qui ne supportent pas l’idée d’une paysage de haute couture sans la patte magique du créateur.
Son redressement judiciaire l’avais mis dans une colère noire mais Christian Lacroix ne désarme pas. Le cheikh Hassan ben Ali al-Naimi, neveu et homme d’affaires de l’émir d’Ajman, le plus petit des Emirats arabes unis, pourrait être le sauveur de Christian Lacroix.
Il pourrait apporter 50 millions d’euros d’argent frais et garder 119 des 125 employés de la maison que souhaite liquider le groupe Falic. Le tribunal de commerce de Paris doit prendre une décision mi-octobre et le comité d’entreprise de Christian Lacroix se réunira mardi afin d’étudier l’offre du cheikh.

très bonne nouvelle!! en espérant que le tribunal de commerce ne rejette pas cette solution…