Les hôtels de luxe marseillais sont excédés. Le conflit social qui a bloqué pendant près de trois semaines le ramassage des ordures leur a coûté la bagatelle de 800.000 €. Unis pour partir en guerre, les 6 hôtels de luxe de la ville (New Hôtel, Novotel, Pullman, Radisson, Sofitel et Villa Massalia) craignent de nombreuses annulations, même longtemps après le conflit.
« Les annulations de séminaires se multiplient à cause de l’image désastreuse offerte par la ville, » expliquent-ils dans une lettre envoyée notamment au maire de la ville, Jean-Claude Gaudin. La ville compte également beaucoup sur la transformation de l’ancien hôpital Hôtel-Dieu en palace cinq étoiles, dans la perspective de 2013 où Marseille sera Capitale européenne de la culture.
Alors, à moins qu’un artiste ne fasse une compression à la César avec les ordures, il va bien falloir régler ce problème de façon pérenne.
Ces grèves à répétition sont politiques et honteusement orchestrées par des partenaires pas très sociaux !!!!! Ces hôtels sont créateurs d’emplois, beaucoup plus que que ces partenaires bien intentionnés et leurs permanents très courageux.
[…] avec la canebière et la rue de la République le triangle d’or de la cité phocéenne, les Terrasses du Port sont le nouveau lieu où il fait bon vivre et surtout, où il fait bon de […]