Soyons clairs, même si beaucoup de monde a plutôt l’impression de perdre ses repaires en ce moment, il y des vérités universelles qui elles, restent stables quelque soit la période donnée. Soyez donc rassurés.
Ainsi, même en pleine dépression économique, les marques sont nombreuses à vouloir avoir pignon sur rue: mais pas n’importe quel pignon, dans pas n’importe quelle rue. L’emplacement de rêve est fortement recherché et les artères commerçantes des plus grandes métropoles restent extrêmement prisées.
Le prix de l’immobilier locatif des rues commerçante continue donc à enfler, boosté par le dynamisme que connaissent les marques de luxe et la concurrence que leurs livrent les autres griffes disons… plus populaires (je suis un grand nom de la mode faite de deux lettres, je viens de Suède et m’éparpille dans le monde entier et je me permets chaque année d’inviter des grands noms de la mode a me dessiner des collections, mais qui suis je?…)
Bref, résultats, les rues commerçantes les plus chères au monde sont les suivantes:
– Causeway Bay, à Honk Kong – 24 983€ par an au m2
-La Vème avenue, à New York – 20 702€ par an au m2
-Les Champs Elysées, à Paris – 13 255 € par an au m2
-New Bond Street, à Londres – 8 666 € par an au m2
– Ginza, à Tokyo – 8 666 € par an au m2
Et vous savez quoi? Comme le client est roi, ce n’est même pas vous qui payez réellement la différence au moment de vos achats (quelques écarts de prix dus au transport et aux barrières douanières, certes, mais là n’est pas le sujet). Bref, ou que vous soyez, profitez d’arpenter ces rues au final pas comme les autres pour vous offrir des souvenirs… et contribuer ainsi à la vérification de ces universelles vérités.