Le mardi 22 janvier à 15h30 aura lieu à Drouot une vente aux enchères de tapis caucasiens et persans des XIXe et XXe siècles.
Une centaine de chirvan, kirman, tabriz, khorassan, kechan, sarouk, afchar, veramine, melayer, pérépédil, hilla, gendjé et autres boukhara seront proposés à la vente.
Si leur couleur et leur motif – géométrique ou stylisé pour les caucasiens, floraux pour les persans seront variés – leur gamme de prix sera également large. Prévoir ainsi de 1 000 à 8 000 euros pour la plupart des modèles, au-delà pour quelques autres.
Parmi eux, un khorassan (Perse) début XIXe à double médaillon brique et ivoire à fleurs polychromes et fond bleu marine et un melayer (Perse) fin XIXe orné de semis de fleurs stylisées multicolores à fond ivoire estimés à 15 000 euros.
A noter également un kirman laver (Perse) des années 1880, à fond ivoire et médaillon rubis à fleurs polychromes estimé à 22 000/25 000 euros, un ispahan milieu XXe, tissé sur chaîne de soie pour lequel 18 000/20 000 euros sont à prévoir. Un ameridza ou lahore d’Inde de la fin du XIXe, à fond ivoire, médaillons à cartouches est annoncé quant à lui entre 45 000 et 50 000 euros.
Il semble plutôt cher, mais pendant que la qualité toujours bonne coûte et il y a un choix limité des tapis acient à choisir de.