Dans la famille the Britain, je demande la femme

Cette semaine, le blog luxe se sent d’humeur échangiste en décidant de faire la promotion des grands noms là où on ne les attend pas forcément.  Alors que l’horloger TAg Heuer étend son savoir faire dans la téléphonie mobile, la maison de mode Burberry vient, quant à elle, de sortir une jolie montre androgyne.

Lancée au mois d’octobre dernier, la collection the  Britain  s’est enrichi de deux nouveaux modèles automatiques.  Le premier se compose d’un bracelet en alligator noir qui habille avec élégance un cadran orthogonal. Le second avait déjà fait sensation au poignet de Gabriella Wilde lors de la dernière campagne signée Mario Testino.

Il s’agit d’une montre composée d’un cadran orthogonal et d’un boîtier en acier inoxydable. Un modèle jusqu’à présent plutôt destiné à ces messieurs, puisque le diamètre proposé atteignant la taille de 43 mm. Mais devant l’engouement de la gente féminine, Burberry vient de sortir son équivalent en version minime, soit un cadran de 38 mm. La langue anglaise fait bien les choses puisque ce nom convient aussi bien aux Lords qu’aux Ladies

Un garçon féminin, une fille au masculin, toutes les excuses sont donc bonnes pour se prendre la (montre en) main. A savoir maintenant si 5 malheureux millimètres font la différence, telle est la question. Dans le grand monde de joaillerie, qui allie technique et précision, un millimètre fait souvent la différence.

Mais justement, une montre androgyne mérite-t-elle vraiment qu’on y attache une si grande importance. La jolie Gabriella a attiré l’attention parce que cette montre homme, justement, siait à ravir son jolie poignet. Selon quelques fashionista de référence, piquer les accessoires des hommes est la véritable tendance. N’est pas Gabriella Wilde qui veut, bien entendu, mais un nouveau modèle pour femme est-il vraiment le bienvenu?