Black is beautiful

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Après 689 commentaires, le débat sur la carte Visa Infinite et ses concurrentes semble, temporairement pour le moins, clos. Ce week-end, c’est Le Figaro Magazine qui remet les cartes sur la table dans un article titré Le club des cartes noires.
Autrefois symbole de réussite sociale les cartes dorées (Visa Premier ou Gold MasterCardt) se sont, explique la journaliste, trop démocratisées. Rien que la Premier a été tirée à 2,7 millions d’exemplaires. Puis, les banques nous ont expliqué à longueur de spots télévisés que « Il y a certaines choses qui ne s’achètent pas. Pour tout le reste il y a Gold MasterCard ». Avec ce solgan, la Gold MasterCard avait signé son exclusion à vie du club des riches.

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Franchement, dire à un milliardaire qu’il y a certaines choses qui ne s’achètent pas, c’est un contre-sens doublé d’une belle gaffe. Car le riche veut justement qu’on lui dise que tout est possible.

Du coup, les cartes noires ont pris le relais. Et cette fois-ci, c’est promis, elles ne se démocratiseront pas. La Visa Seven Royal noire (photo) n’a été attribuée qu’à 300 happy hew, et la Centurion de chez American Express ne compte quant à elle que quelques milliers de porteurs à travers le monde, dont une centaine en France. Pour limiter le nombre de porteurs, il suffit de vérifier le compte en banque. Il faut bien dire que le crédit disponible de la Visa Seven Royal atteint 200 millions d’euros ! Bref, de quoi faire passer la Visa Infinite pour une infinie… broutille ! Avis aux amateurs de commentaires…

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