Une des conséquences de l’extrême tension qui prévaut actuellement au Tibet : de nombreux retards sont constatés dans les aéroports de Chine.
Le renforcement des mesures anti-terroristes avant les Jeux olympiques de Pékin et les évènements actuels s’avèrent très peu propices au tourisme …
De nouvelles mesures, interdisant notamment aux passagers d’emporter des liquides, sont entrées en vigueur vendredi, créant beaucoup de problèmes à l’aéroport. Compte-tenu du temps nécessaire pour effectuer les opérations, de nombreuses personnes ratent leur avion ou s’envolent in extremis. Des voyageurs ont également fait état de nombreux retards aux aéroports de Pékin et de Shanghai en raison du renforcement des contrôles.
Ce renforcement a été décidé la semaine dernière par l’Administration de l’aviation civile après que la Chine eut annoncé qu’une jeune femme de 19 ans, de la minorité musulmane ouighoure, avait tenté vendredi de faire exploser un avion à destination de Pékin. Selon le journal Global Times, elle avait en sa possession deux canettes remplies d’essence.
Ce week-end, Lhassa était quadrillée par l’armée et interdite d’accès aux touristes étrangers comme le reste du Tibet, au lendemain d’émeutes qui ont fait 10 morts selon les autorités. Le gouvernement tibétain en exil a de son côté confirmé « environ 30 morts » et a affirmé disposer d’informations non confirmées faisant état de « plus de 100 morts ».
Quel que soit le bilan définitif, il s’agit des manifestations les plus sanglantes au Tibet depuis celles de 1989, qui s’étaient soldées par des dizaines de morts.
Si la tension semblait baisser dans la capitale tibétaine, de nouvelles manifestations ont éclaté dans la province du Gansu, dans le nord-ouest de la Chine, notamment au monastère de Labrang. Elles auraient réuni plusieurs milliers de personnes dont beaucoup de moines, selon des groupes de défense des Tibétains.
Le gouvernement chinois a comme ennemi toutes formes de religion et de spiritualité, donc toutes formes de liberté de l’esprit, car cette liberté menace leur pouvoir, leur puissance et leur domination. En détruisant cette spiritualité millénaire, ce patrimoine mondial, le gouvernement chinois s’attaque au désir fondamental de chaque être humain de s’élever spirituellement, pas seulement le peuple tibétain, et se pauvre peuple chinois, mais également à nous aussi peuple occidentaux.
La destruction massive des monastères tibétains (plus de 6000), mais aussi des églises catholiques et des mosquées musulmanes, les meutres de milliers de moines, de nonnes et de laics, et cette politique de détruire la culture tibétaine et son peuple de nombreuses manières (plus de 1 200 000 de tibétains sont morts de cette répression en plus des milliers de disparus dans les prisons chinoises) ont pour éléments déclencheurs le plateau tibétain, position militairement stratégique, ainsi qu’une abondance en ressources naturelles qui sont exploitées au point de rendre le Tibet aride et stérile, mais également cette anecdote suivante :
» Lama Tsong Khapa, Lobsang Drakpa, un moine très important du Tibet au 13 ième siècle, et qui marqua profondémment le Tibet de l’époque, jusqu’à aujourd’hui, était une émanation du Bouddha de la Compassion (Avalokiteshvara), du Bouddha de la Sagesse (Manjoushri) et du Bouddha Vajrapani. Il a écrit de nombreux écrits sacrés (Lamrim) et il est vénéré par tous les tibétains et bouddhistes pour ses hautes réalisations spirituelles. Or, Lama Tsong Khapa, à sa mort, décida de ne pas faire disparaître son corps et de la garder ici bas, pour aider à la motivation spirituelle de tous. Une fois mort, son corps fut conservé au monastère Ganden Jangtse, tout près de Lhassa, la capitale du Tibet. Son corps fut laissé coucher sur une table banale sans protection, à l’air libre, il resta beau et jeune jusqu’en 1959. Seulement un entretien minimum était nécessaire, comme couper les cheveux et les ongles (phénomène que l’on retrouve encore chez d’autres moines actuellement).
Puis avant les massacres des moines et la destruction totale des monastères en 1959, une délégation militaire chinoise visita le monastère de Ganden et découvrit le corps de Tsong Khapa tout jeune et très bien conservé, comme s’il dormait tout simplement. Les militaires chinois furent stupéfaits et déclarèrent la guerre à la spiritualité comme ennemi du parti communiste chinois et comme menace de la Mère Patrie, et le Tibet fut bombardé sans relache. Le corps de Lama tsong Khapa fut détruit et brûlé.
http://espace.canoe.ca/Larouche/blog/view/177781
Le gouvernement chinois a comme ennemi toutes formes de religion et de spiritualité, donc toutes formes de liberté de l’esprit, car cette liberté menace leur pouvoir, leur puissance et leur domination. En détruisant cette spiritualité millénaire, ce patrimoine mondial, le gouvernement chinois s’attaque au désir fondamental de chaque être humain de s’élever spirituellement, pas seulement le peuple tibétain, et se pauvre peuple chinois, mais également à nous aussi peuple occidentaux.
La destruction massive des monastères tibétains (plus de 6000), mais aussi des églises catholiques et des mosquées musulmanes, les meutres de milliers de moines, de nonnes et de laics, et cette politique de détruire la culture tibétaine et son peuple de nombreuses manières (plus de 1 200 000 de tibétains sont morts de cette répression en plus des milliers de disparus dans les prisons chinoises) ont pour éléments déclencheurs le plateau tibétain, position militairement stratégique, ainsi qu’une abondance en ressources naturelles qui sont exploitées au point de rendre le Tibet aride et stérile, mais également cette anecdote suivante :
» Lama Tsong Khapa, Lobsang Drakpa, un moine très important du Tibet au 13 ième siècle, et qui marqua profondémment le Tibet de l’époque, jusqu’à aujourd’hui, était une émanation du Bouddha de la Compassion (Avalokiteshvara), du Bouddha de la Sagesse (Manjoushri) et du Bouddha Vajrapani. Il a écrit de nombreux écrits sacrés (Lamrim) et il est vénéré par tous les tibétains et bouddhistes pour ses hautes réalisations spirituelles. Or, Lama Tsong Khapa, à sa mort, décida de ne pas faire disparaître son corps et de la garder ici bas, pour aider à la motivation spirituelle de tous. Une fois mort, son corps fut conservé au monastère Ganden Jangtse, tout près de Lhassa, la capitale du Tibet. Son corps fut laissé coucher sur une table banale sans protection, à l’air libre, il resta beau et jeune jusqu’en 1959. Seulement un entretien minimum était nécessaire, comme couper les cheveux et les ongles (phénomène que l’on retrouve encore chez d’autres moines actuellement).
Puis avant les massacres des moines et la destruction totale des monastères en 1959, une délégation militaire chinoise visita le monastère de Ganden et découvrit le corps de Tsong Khapa tout jeune et très bien conservé, comme s’il dormait tout simplement. Les militaires chinois furent stupéfaits et déclarèrent la guerre à la spiritualité comme ennemi du parti communiste chinois et comme menace de la Mère Patrie, et le Tibet fut bombardé sans relache. Le corps de Lama tsong Khapa fut détruit et brûlé.
http://espace.canoe.ca/Larouche/blog/view/177781
le Tibet est également riche en hydrocarbures et zone de transit pour gaz et pétrole … 🙁