Un vaccin contre le paludisme aurait présenté des résultats positifs. Au-delà de l’intérêt vital évident (300 millions de personnes sont touchées chaque année, entre 1 et 3 millions en meurent), ce vaccin ouvre également de nouvelles perspectives au développement du tourisme africain.
De nombreuses destinations (Madagascar, Tanzanie, Zanzibar…) restent encore associées à cette maladie, à tel point que les touristes, surtout dans le secteur haut-de-gamme, les boudent.
Ainsi, des îles malgaches paradisiaques comme Nosy Iranja (photo) restent peu visitées par crainte du moustique. Pourtant, des moyens de prévention existent : répulsifs et moustiquaire permettent d’éviter le paludisme. En effet, le seul moyen d’être infecté et d’être piqué par un certain type de moustique femelle la nuit. Autant dire que les « chances » sont faibles.
Mais la mise au point d’un vaccin efficace devrait permettre à ces destinations encore méconnues de gagner leurs lettres de noblesses. D’autant q’il faudra bien trouver une alternative aux Maldives quand ses îles seront sous l’eau !